Le marché européen des foncières n’est pas au mieux ! La crise sanitaire a fragilisé même les plus gros qui enregistrent des pertes de valeur significatives sur les marchés boursiers. Les raisons de cette dégringolade sont multiples, mais les experts pointent principalement du doigt la défiance des investisseurs.
Au final, tout cet imbroglio devrait entraîner un fort impact sur les volumes et les prix des transactions du marché. Dans ce contexte loin d’être rassurant, c’est tout le secteur de l’immobilier commercial et de la distribution qui tremble pour cette fin d’exercice 2020.
Une période favorable à la déprime du secteur
Il faut bien avouer que la conjoncture n’a rien de rassurant ! Est-il besoin de rappeler que la pérennité des foncières provient en majeure partie de la bonne santé des commerces. Autant dire qu’en cette période, rien n’est moins certain et que les impayés sont de plus en plus d’actualité. Il convient donc d’être flexible et de proposer des solutions amiables aux locataires qui ont parfois du mal à honorer leurs dettes.
L’image peu reluisante des Centres Commerciaux
Cette tension et incertitude n’est pas pour déplaire aux détracteurs d’un secteur depuis un moment déjà pointé du doigt par ceux qui clament que les grands projets commerciaux qui ne serviraient que les intérêts des foncières et auraient pour effet de désertifier les centres villes. A cela, le Conseil National des Centres Commerciaux (CNCC) ne cesse de répondre par des données mettant en avant le rôle majeur des centres commerciaux dans la vie quotidienne des Français.
Force est donc de constater que les grands centres commerciaux ne font plus rêver ! Forts de cette analyse, c’est donc à eux de réagir, de proposer de nouvelles expériences…. En quelque sorte se réinventer !